Planète lointaine : critique de [François] de Du9


Difficile de ne pas perdre le fil de cette histoire, où les personnages sont nombreux et le scénario un peu embrouillé. Reste le dessin, qui emprunte la clarté de Moebius ou de Bati. On y retrouve le souffle du Métal des années 80.
Une grande danse sur cette planète, ou le lecteur, un peu saoul, risque de laisser tomber "Planète Lointaine" pour aller relire la saga de l'Incal... A réserver aux fanatiques du genre...